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 Dess(e)ins 

 Flore

Encre de Chine et noir de fumée sur papier Bristol_40/40cm 

Dessins sélectionnés

​La série « Flore » s’inspire de représentations d’autopsies qui ont cours sous l’impulsion de Frédéric II au XIIIe siècle et qui se poursuivent bien au-delà de la renaissance. L’interêt consiste ici à rendre visible ce qui par nature reste caché et de le mettre en lien avec les pratiques divinatoires comme l’anthropomancie (divination par analyse des entrailles humaines). Sur certaines planches anatomiques du XVIIIe siècle de Jacques Gautier d’Agoty et de René-Jacques Croissant de Garengeo, la peau retroussée suite à la découpe en croix de l’abdomen offre une analogie avec une fleur. « Flore » sont des dessins réalisés à partir d’une tâche d’encre et de fumée, parfois d’empreintes de viscères et de traces de sang. Une lecture à trois dimensions invite à un décryptage ; la science, la psychologique et l’ésotérisme (pratiques divinatoires) se rencontrent dans une forme hybride mêlant le végétal et l’animal.

Dessin de fleurs / viscères à l’encre de Chine. Inspiré des représentations d’autopsies du XIIIe siècle, il s’agit d’évoquer ce qui par nature est caché en lien avec les pratiques divinatoires.
Dessin de fleurs / viscères à l’encre de Chine. Inspiré des représentations d’autopsies du XIIIe siècle, il s’agit d’évoquer ce qui par nature est caché en lien avec les pratiques divinatoires.
Dessin de fleurs / viscères à l’encre de Chine. Inspiré des représentations d’autopsies du XIIIe siècle, il s’agit d’évoquer ce qui par nature est caché en lien avec les pratiques divinatoires.
Dessin de fleurs / viscères à l’encre de Chine. Inspiré des représentations d’autopsies du XIIIe siècle, il s’agit d’évoquer ce qui par nature est caché en lien avec les pratiques divinatoires.
Dessin de fleurs / viscères à l’encre de Chine. Inspiré des représentations d’autopsies du XIIIe siècle, il s’agit d’évoquer ce qui par nature est caché en lien avec les pratiques divinatoires.
Dessin de fleurs / viscères à l’encre de Chine et noir de fumée. Inspiré des représentations d’autopsies du XIIIe siècle, il s’agit d’évoquer ce qui par nature est caché en lien avec les pratiques divinatoires.
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